Comment rendre nos infrastructures résilientes aux vents extrêmes ou aux pluies excédentaires? Comment diagnostiquer prématurément la maladie d’Alzheimer? Peut-on améliorer les plaques photovoltaïques en s’inspirant des yeux des papillons? Voilà quelques-unes des questions en recherche et en innovation auxquelles tentent de répondre les chercheurs et chercheuses en génie de l’ÉTS.
L’École de technologie supérieure croit fermement que la recherche scientifique doit servir le bien commun. Avec près de 80 groupes se consacrant à la recherche, les possibilités de faire progresser la connaissance et d'améliorer la vie des gens sont infinies. Les membres du corps professoral de l’ÉTS axent leurs travaux sur les grands enjeux de la société. Entretenant des liens privilégiés avec différentes organisations et partenaires industriels, les professeurs-chercheurs et professeures-chercheuses proposent des projets de recherche appliquée tant à la maîtrise qu’au doctorat. Faire de la recherche à l'ÉTS, c'est être amené à développer ses compétences pratiques pour résoudre les problèmes auxquels font face les entreprises d’ici.
« Je suis libre d’explorer les sujets qui m’interpellent, dans un environnement sûr. De plus, je peux bénéficier de deux paliers gouvernementaux de subventions de recherche, ce qui n’est pas nécessairement le cas partout au Canada. J’ai choisi Montréal parce que j’ai trouvé que c’était l’endroit qui rassemblait toutes les choses que j’aime dans la vie : la science, l’art, l’humain et la communauté, et enfin l’environnement. »
Rachel Bouserhal, professeure, département de génie électrique